Un sujet en particulier n’est pour ainsi dire jamais abordé par les médias traditionnels alors qu’il fait l’objet d’une profusion de publications sur internet. C’est dire si sa nature est scabreuse et son traitement sujet à polémiques. Je veux parler des « thèses complotistes », selon l’appellation dont certains préfèrent les invalider pour mieux s’en protéger (lire l’article), qui offrent autant d’explications plausibles aux désordres actuels. Ce sujet d’étude soulève un tas de questions de portée philosophique parce qu’il peut en apprendre beaucoup sur la situation de notre monde, moyennant de pouvoir aussi porter atteinte à notre foi en l’humanité. Une sorte de saint Graal aussi bénéfique que maléfique donc, capable d’octroyer la précieuse connaissance au risque d’y perdre la raison – ce qui n’aboutirait finalement qu’à servir l’ennemi qu’on cherche justement à connaître pour mieux le combattre. Car cet ennemi là porte le nom du Malin, auquel il peut donc être présomptueux d’imaginer pouvoir se mesurer impunément… Danger donc, et intérêt aussi, qu’il nous revient de marier avec discernement, et conscience que l’homme est certes capable du pire, mais aussi du meilleur. Ramené à notre monde, le problème ou sa cause pourrait se résumer en deux points : le concept du Nouvel Ordre Mondial, associé aux techniques de Contrôle mental mises en œuvre pour établir ce projet global et totalitaire.
La promulgation technologique d’une religion universelle par le truchement d’hologrammes diffusant des apparitions miraculeuses et des messages par voie d’ondes directement perçus par chacun. Ces technologies existent déjà et cette application est décrite dans le projet Blue Beam.
Pour contrer toute tentative d’insurrection par des individus conscients et insoumis, de nombreux camps de concentration auraient déjà été disséminés de par le monde en commençant par le Canada. Quantité de cercueils métalliques seraient aussi déjà entreposés dans l’attente des cadavres prévus d’y demeurer par paires.
Pour procéder à cette réduction de la population tous les moyens semblent bons : contaminations vaccinales, alimentaires, pharmaceutiques ou environnementales (téléphones portables).
Et pour le contrôle absolu de ceux qui en réchapperaient :la puce RÉF-ID qui permet un fichage par centralisation totale de toutes les données concernant chaque individu, et de bloquer à distance l’accès à ses finances aussi bien… Ces puces existent comme chacun devrait le savoir aujourd’hui.Elles ont été testées VOLONTAIREMENT par des clients de boîte de nuit par exemple qui ont accepté de se les faire implantées juste parce qu’il est « pratique »de ne pas avoir besoin d’argent pour payer ses consommations…
Ce qui serait mis en cause ici est une volonté de désagrègement social visant à compromettre toute forme de cohésion entre les individus : à diviser pour mieux régner. Cette entreprise relèverait alors d’une volonté maléfique s’incarnant à travers l’activité secrète de certains groupes. Mais qui prendrait aussi sa source en chacun de nos égoïsmes, offrant ainsi une piste de traitement à ne pas négliger…
II. Contrôle-mental – pédocriminalité et satanisme
Une fois ce premier volet refermé, un autre concerne des crimes abominables dont la justice semble avoir du mal à se saisir pleinement. La raison évoquée est qu’elle serait elle-même noyautée par les réseaux mis en cause, exigeant des magistrats qu’ils se soumettent à leurs directives par le chantage exercé sur leur complicité filmée dans les actes en question. Ces crimes font état de viols, tortures et assassinats d’enfants (dont des bébés) perpétrés dans le cadre de cérémonies sataniques. Un nombre inquiétant d’anciennes victimes rescapées rapportent en effet les témoignages concordant de ces horreurs : des scènes filmées par des individus vêtus de robes signées du sigle des illuminati (aussi arboré par les franc-maçons), pour être revendues à prix d’or ensuite sur la partie cachée d’internet.
Documentaires :
. « Sexzwang 2 – pédocriminalité sectes abus rituels sataniques » (Ivo Sasek)
. « Viols d’enfants la fin du silence ? » (Elise Lucet, 1999)
Ce reportage fut diffusé le 27 mars 1999, tard dans la soirée; dans le cadre de l’émission « Paroles d’enfants » sur FR3, présenté par Elise Lucet. Il fut réalisé par les journalistes Pascale Justice, Stéphane Taponnier et Cécile Toulec. Le reportage met en relief l’existence probable d’un réseau pédophile qui bénéficierait de protections au sein des instances dirigeantes de la justice et de la politique française. En fin d’émission, se tient un débat, modéré par Elise Lucet. Ce document reste peu connu du grand Public, bien qu’il ai été diffusé sur une chaine publique. ‘Débordement’ rendu possible, probablement par la détermination de Mme Lucet, toujours d’une grande (im)pertinence dans sa tenue du débat. Les intervenants au débat: La députée socialiste de Seine Maritime, Frédérique Bredin. La thérapeute familiale, Martine Nisse. Le commissaire de la sureté départementale des Hauts de Seine, Jean-Yves Leguennec. La substitut du procureur au tribunal d’instance de Bobigny, Martine Bouillon. Le député au Grand Conseil du canton de Vaud et délégué du Comité International pour la Dignité de l’Enfant, Georges Glatz. Ce dernier explique comment fonctionnerait l’économie lucrative de ces réseaux pédophiles, il évoque des snuff-movies sur DVD d’enfants violés et tués vendus 20 000 francs Suisses sous le manteau. Dès le lendemain de sa diffusion, Mme Bouillon est attaquée suite à ses déclarations (certes hâtives) sur l’existence de charniers d’enfants en région parisienne. Elle sera mutée en province au tribunal de grande instance d’Amiens sous prétexte d’atteinte à la délicatesse. Au passage, le Haut Magistrat qui lui a assigné l’ordre de mutation, Jean François Burgelin, a été mis en examen par la suite pour pédopornographie mais a été blanchie. Mme Bouillon se refuse depuis à tout commentaire sur cette affaire déclarant seulement qu’elle « a des personnes à protéger « .. « Zandvoort le fichier de la honte » (Karl Zéro, 1998)
Un CD Rom, 8000 photos (ou beaucoup plus comme l’indiqué au début du docu Les réseau de l’horreur !) Des enfants torturés, violés. Découvert en 1998 à Zandvoort aux Pays-Bas, son propriétaire a été assassiné en Italie. Qui sont ces enfants ? Que fait-on pour les retrouver ? Malgré la reconnaissance de plus de 80 enfants, dont certains victimes dans de célèbres procès comme celui des Disparues de l’Yonne, les actions d’associations comme Innocence en Danger, ou les interrogations préoccupantes d’un rapporteur de l’ONU, la justice conclut à un non lieu et le fichier ne sera plus jamais évoqué. Pourquoi un tel silence autour des réseaux pédophiles ? A l’occasion de la diffusion de ce numéro exceptionnel des Faits Karl Zéro Le Prime, 13ème RUE soutient l’action de l’association Innocence en danger.. « Les réseaux de l’horreur » (Stan Maillaud)
Retour sur l’affaire de ZANDVOORT. 18 CD-Rom, plus de 80 000 photos, de viols d’enfants, de tortures d’enfants, quelques viols de bébés, 14 personnes identifiables dont un personnage français haut placé. 18 CD-Rom remis à Marcel Vervloesem en 1998 par Ulrich, pédophile assassiné voulant sortir du réseaux mafieux. Marcel Vervloesem a remis ces18 CD-Rom aux differentes instances concernés, justices, police. 88 539 victimes recensées.Lire : « Au cœur du terrorisme d’état » (Stan Maillaud) :
http://www.fichier-pdf.fr/2012/02/22/au-coeur-du-terrorisme-d-etat-s-maillaud/au-coeur-du-terrorisme-d-etat-s-maillaud.pdf
Ces cultes qu’on pourrait croire issus d’un autre temps – auquel certaines sources les font effectivement remonter avec la connaissance des techniques de contrôle-mental associées – sont sensés garantir l’appui des puissances auxquelles sont offerts ces sacrifices. Et visant aussi à susciter une réaction de dissociation dans l’esprit des victimes auxquelles ces traumatismes sont infligés, à seule fin de pouvoir les reconditionner ensuite selon le bon vouloir de leurs tortionnaires, dans chaque espace rendu ainsi vaquant de leur personnalité désintégrée. Ainsi verrait-on naître une armée d’esclaves sexuels ou autres, dépossédés de toute conscience et souvenir de leurs actions téléguidées par ceux qui y trouvent intérêt.
La programmation mentale d’êtres humains est un phénomène dont la communauté scientifique n’a pris connaissance qu’assez récemment, à l’échelle historique. Il y a quelques dizaines d’années, presque personne n’en parlait, et il n’existait presque aucun document sérieux publié sur ce sujet.
Wayne Morris, producteur et interviewer à Radio CKLN FM 88.1 de l’Université Polytechnique Ryerson, à Toronto, Ontario, au Canada, a eu le courage de faire une enquête très approfondie sur le problème de la programmation mentale. Pendant huit mois, entre fin 1997 et fin 1998, il a interviewé à la radio 24 personnalités, survivants ou spécialistes de la programmation mentale. Il a fallu interviewer certaines personnes plusieurs fois, compte tenu de la longueur de leur témoignage :
Les pdf de ces interviews sont ICI (http://mk-polis2.eklablog.com/interview-de-survivants-et-therapeutes-p634279) ou à télécharger en Fichier-zip LÀ (http://www.fichier-zip.com/2011/12/04/survivants-des-illuminatis/).
La programmation mentale fait appel à une connaissance extrêmement ancienne qui semble remonter à l’époque de Babylone et de l’Égypte antique. Les hommes semblent avoir compris très tôt qu’il leur était possible de transformer d’autres êtres humains en esclaves mentaux, moyennant un conditionnement approprié, basé sur des traumatismes répétés. Elle s’appuie sur le phénomène appelé « dissociation », ou « fragmentation »de la personnalité en personnalités multiples. Tout se passe comme si la personnalité d’un individu pouvait être fragmentée en plusieurs personnalités toutes différentes, qui peuvent prendre le contrôle du corps à tour de rôle. Par ailleurs, il existe comme des « murs d’amnésie » entre ces différents fragments de la personnalité, de sorte que chaque fragment ne se souvient pas de ce qui s’est passé au niveau des autres fragments. En fait, il ne s’agit pas de personnalités multiples au sens absolu du terme. L’individu conserve une seule personnalité unique, mais elle est fragmentée en différents composants apparemment indépendants les uns des autres.
Ce fractionnement de la personnalité est provoqué en général par un traumatisme violent et douloureux. Ce traumatisme provoque des réactions physico-chimiques au niveau du cerveau. Le fractionnement de la personnalité serait une réaction de défense de notre organisme contre un traumatisme trop violent. Le cerveau crée une « zone de mémoire spéciale », qui va enregistrer le traumatisme à un niveau subconscient ou inconscient, pour épargner une douleur trop vive à la mémoire consciente. Il se crée donc une fragmentation de la personnalité, qui va permettre de conserver la mémoire du traumatisme, mais à un niveau qui n’est plus conscient. Cette mémoire cachée sera entourée d’un « mur amnésique », afin que la personnalité de veille n’en soit pas consciente. Ce sont donc les victimes de ces traumatismes qui créent « naturellement » ce fractionnement de leur personnalité, pour pouvoir gérer et absorber les traumatismes subis. Ce fractionnement de la personnalité peut donc se produire naturellement chez tous ceux qui vivent des traumatismes violents. Mais il peut aussi être artificiellement provoqué, en infligeant à des victimes des traumatismes contrôlés, associés à l’hypnose ou à diverses drogues. Il est alors possible non seulement de fragmenter la personnalité, mais aussi de conditionner, ou de programmer chaque fragment de la personnalité. Tous ces fragments programmés restent dormants au niveau subconscient. Mais ils peuvent être activés, c’est-à-dire remonter au niveau conscient, et prendre le contrôle du corps. Ils sont activés au moyen de codes secrets définis à l’avance. La réception de ce code par la victime la plonge dans un état hypnotique ou second, et le fragment de sa personnalité qui a été activé prend alors le contrôle de son corps, pour effectuer le programme codé à l’avance : espionner, assassiner, séduire, etc. On comprend l’avantage de cette technique abominable pour tous les services secrets. Ce sont d’ailleurs la CIA ou le KGB qui ont effectué ou commandité les plus importantes recherches dans ce domaine, recherches financées par les gouvernements américain et russe. Ils ont aussi « bénéficié » des recherches effectuées par les médecins nazis dans les camps de la mort, sous la direction du tristement célèbre Docteur Josef Mengele, réfugié par la suite aux États-Unis.
Depuis quelques dizaines d’années, de nombreux médecins, psychiatres, psychologues et thérapeutes divers ont vu affluer dans leurs cabinets de plus en plus de patients qui présentaient des symptômes similaires. Ils avaient tous subi des traumatismes sexuels pendant leur enfance, présentaient des troubles graves de la personnalité, et divers symptômes caractéristiques : dépression, alcoolisme, toxicomanie, désordres alimentaires, troubles du sommeil, anxiété… Tous ces malades racontaient aussi toutes sortes de souvenirs personnels très inquiétants, qui parlaient de cérémonies sataniques, d’assassinats programmés, de blanchiment d’argent, de contacts avec les milieux politiques, religieux et économiques, de conspiration mondiale, de Nouvel Ordre Mondial…
Beaucoup de thérapeutes se sont contentés de considérer ces malades comme des dérangés mentaux graves. Mais d’autres ont été étonnés par la similitude de leurs témoignages et de leurs symptômes, et ont décidé de faire des enquêtes sérieuses sur ce phénomène, de manière scientifique et systématique. C’est ainsi qu’ils ont commencé à vérifier les souvenirs des victimes, à s’informer sur les sectes sataniques et leurs pratiques, et à avoir accès à des informations ou des documents ultra confidentiels, prouvant que le gouvernement avait financé des recherches approfondies sur la programmation mentale, et fait effectuer toutes sortes d’expériences dans des bases militaires, des hôpitaux et centres de recherches, des centres de la NASA, etc. Ils ont calculé que des centaines de milliers de citoyens innocents avaient servi de cobayes involontaires à ces expériences très traumatisantes. Les populations favorites étaient les malades mentaux, les prisonniers, les militaires, les prostitués, les orphelins et les enfants en général. A mesure que le nombre des survivants croissait, ils se sont organisés et, aidés par un grand nombre de thérapeutes, ont exigé que des enquêtes officielles soient effectuées. Des Commissions d’Enquête présidentielles ont été nommées, qui ont recommandé que des dossiers secrets, notamment de la CIA, soient rendus publics. Le Président Clinton a reconnu les faits, et certaines pratiques, notamment en ce qui concerne les expériences impliquant l’usage de radiations. Il a présenté des excuses publiques aux victimes, et a fait dégager des crédits pour les indemniser. Mais seul le sommet de l’iceberg a été repéré. La plupart des spécialistes et des survivants sont convaincus que ces expériences se déroulent toujours, et que tout est fait au contraire pour étouffer l’affaire et déconsidérer les victimes ou les chercheurs les plus actifs. Le gouvernement se retranche souvent derrière le « secret défense » ou les exigences de la sécurité nationale. Comme aucun des tortionnaires impliqués dans la programmation mentale n’a jamais été attaqué en justice pour activités illégales ou immorales, cela a, bien entendu, encouragé la poursuite de ces pratiques.
Ce qui peut nous inciter à croire que ces témoignages sont véridiques dans leur ensemble, c’est leur nombre important, ainsi que la variété de l’origine géographique et sociale des survivants, qui, pour la plupart, ne se connaissent pas entre eux. La probabilité mathématique pour qu’il s’agisse d’une invention ou d’une manipulation est pratiquement nulle. Mais cela ne signifie pas qu’il faille automatiquement accepter en bloc tous les détails de ces témoignages. Il est connu que la mémoire humaine peut ne pas être très fiable. A cela s’ajoute le problème de certains faux souvenirs pouvant avoir été volontairement programmés par les tortionnaires, dans leur désir de brouiller les pistes.
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On se rend compte ici à quel point le sujet de la pédocriminalité est étroitement lié aux techniques évoquées dans le cadre du contrôle mental. Du moins si on ne limite pas notre compréhension de la première aux nombreux cas d’amateurs pédophilies isolés, mais qu’on l’étend au contraire à l’organisation mafieuse des réseaux dont nul ne saurait désormais plus nier l’existence. Intéressant aussi, évidemment, de relier cette 1ère série de témoignages des « survivants des illuminatis » à celle tout aussi concordante des enfants rescapés de ces réseaux.
Bref, bien peu de place au doute en réalité – malheureusement ! – concernant l’existence de moins en moins secrète de ces techniques d’esclavage mental dans le cadre desquelles s’inscriraient les pratiques pédophiles sataniques. Les liens s’établissent tendant à confirmer l’inacceptable, les choses transparaissent de plus en plus…
En plus du site de traduction http://www.bing.com/translator très utile et facile d’utilisation, je ne saurais trop conseiller aussi, à ceux dont la connexion internet est capricieuse, de télécharger un logiciel de capture d’écran qui vous permettra de visionner vos reportages en toute tranquillité, une fois enregistrés sur votre ordinateur. J’utilise iLivid mais il en existe beaucoup d’autres…Et pour pouvoir lire le fichier-zip, vous pouvez télécharger 7 Zip.